La France qui se leve tot reveille l'UDF - Rendez vous vendredi 7h30 M° Tour Maubourg

Publié le par La France qui se lève tôt...

La France qui se lève tôt réveille l'UDF !
Union nationale contre un candidat brutal


Rendez-vous vendredi 27 avril à 7h30 Métro Tour Maubourg à Paris,
puis défilé en direction du siège de l’UDF 
133 bis rue de l’Université.

Rencontre de la « France qui se lève tôt » avec les jeunes UDF qui s’opposent au projet de société de Nicolas Sarkozy.
"La France qui se lève tôt apporte les croissants, et compte sur les Jeunes UDF pour le jus d’orange !"

 ET DANS TOUTE LA FRANCE !   
Voir sur http://www.lafrancequiselevetot.com   

Tic-tac-tic-tac-tic-tac… Il est Sarko moins 9 !

Le collectif «  La France qui se lève tôt » salue l’appel de François Bayrou. Si ce n’était pas tout à fait clair, " La France qui se lève tôt" vous propose un décryptage. Bayrou a mille fois raison quand il dénonce Sarkozy lors de sa conférence de presse du 25 avril :

§         « Par sa proximité avec les milieux d’affaires et les puissances médiatiques, par son goût de l’intimidation et de la menace, [Nicolas Sarkozy] va concentrer les pouvoirs comme jamais ils ne l’ont été. (…) Par son tempérament et les thèmes qu’il a choisi d’attiser, il risque d’aggraver les déchirures du tissu social, notamment en conduisant une politique d’avantages aux plus riches (…) Je pense qu’il y a des ressemblances entre Berlusconi [contre qui François Bayrou avait appelé à voter pour Romano Prodi]  et Nicolas Sarkozy.»

§         A propos des débauchages d’élus UDF: « Cette manière de multiplier pressions, débauchages individuels, et de prétendre fabriquer de faux partis pour être dans sa majorité, ça ressemble assez à ce que j’ai appelé la manière de gouverner des Hauts-de-Seine (…) Une manière d’exercer le pouvoir qui ne ressemblait pas aux principes qui me paraissent être les principes élémentaires. »

§         Sur son vote du 2e tour: « Si je sais pas ce que je ferai, je sais déjà ce que je ne ferai pas »

 

C’est clair non ? Bayrou a souligné les dangers que Sarkozy fait courir à la démocratie, à la séparation des pouvoirs, à l’indépendance de la presse. Voilà qui est tout de même plus grave qu’un désaccord avec Ségolène Royal sur la dose de régulation publique dans l’économie. Ces déclarations sont cohérentes avec les graves critiques émises conter Sarkozy avant le premier tour (rappel de ces propos ci-dessous).

 Les anciens dirigeants de l’UDF n’osent pas appeler à faire barrage à Nicolas Sarkozy, qui exerce un véritable chantage à leur égard à propos de leur place de député. Mais les jeunes UDF, eux, n’ont pas de poste à sauver. Ils n’ont que leurs convictions et leur peur de Sarkozy. Certains d’entre eux appellent d’ores et déjà à voter Royal, purement et simplement. C’est donc à leur rencontre que nous allons, vendredi matin, pour fêter, autour d’un verre du jus d’orange, l’union nationale qui seule aujourd’hui peut faire obstacle au candidat de la rupture brutale.

 Le collectif «  La France qui se lève tôt », composé de jeunes travailleurs de gauche comme de droite, a décidé de faire du bruit jusqu’au 6 mai pour réveiller un pays qui se dirige, lentement mais sûrement, vers cinq ans de sarkozysme. La France qui se lève tôt appelle tous les démocrates de ce pays, de gauche comme de droite, à se rassembler sur l’essentiel, en faisant barrage au candidat de la brutalité, l’homme qui cherche et réussit à monter les Français les uns contre les autres.

Les rendez-vous en France:

  • RENNES, rassemblements tous les jours à 18h30 place de la mairien9xpf0w6mutyot25zff6wghj984lsd1.jpg
    Contact : levetot35@voila.fr
  • Crépy en Valois, jeudi 26 avril puis jeudi 3 mai à 6 H 20 devant la gare
  • LYON, jeudi 26 Avril, place de terreaux, à partir de 20h jusqu'à 22h. Vendredi 27 Avril, à 18H30 devant l’opéra. Mardi 1er Mai, Place Bellecour à 10 h 30. Mercredi 2 mai à 6 h 30 (matin), Place Ampère. contact : rosecelavi@neuf.fr

 Lille3a.JPG

  • LILLE, 3 mai 2007, à 7h, gare Lille FlandresLH0042001-20000.jpg
    contact: Elodie : 06 83 92 74 14, e_vittu@yahoo.fr et "clairette" <clarahmail@yahoo.fr>, "pascaline boyron" liliboyron@yahoo.fr

 

  • TOULOUSE, 3 mai 2007 à 6h30, place du Capitole. Contacts : nanaouet@gmail.com et sebastien.bosvieux@wanadoo.fr
  • GRENOBLE,   vendredi 4 mai. 6h30 RDV à Félix Poulat (arrêt tram victor Hugo). Contacts : cucarollo.jerome@hotmail.fr, celinebaudouin@no-log.org rue-karima-croissant-plan--te.jpg

En votre âme et conscience, êtes-vous sûrs de vouloir :

  • une concentration de tous les pouvoirs (Elysée, Matignon, Assemblée, Sénat, Conseil Constitutionnel, CSA, appareil d’Etat, grands médias…) entre les mains d’un homme « gentil mais un peu brutal » (dixit Simone Veil) ?http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30374114@7-354,0.html
  • une France où les CRS vont chercher les enfants sans-papiers dans les maternelles ?
  • une diplomatie alignée sur George Bush ?
  • un président incapable d’aller en banlieue parce qu’il y déclenche des émeutes ?
  • un pays où les individus sont considérés comme génétiquement perdus d’avance ?

C’est maintenant ou jamais.

Contre un candidat idéologue, incompétent et provocateur, avant d’aller travailler, et voter…

Rendez-vous vendredi 27 avril à 7h30 place Salvador Allende à la sortie du métro Tour Maubourg à Paris,
puis défilé en direction du siège de l’UDF 133 bis rue de l’Université.

Contacts : 06 22 59 95 07 – 06 20 21 10 53 – 06 87 46 82 23

infos@lafrancequiselevetot.com

www.lafrancequiselevetot.com

 

Les propos de François BAYROU contre Nicolas SARKOZY : rappel  

Discours du 18 avril 2007 à Paris (POPB Bercy)

 

Nicolas Sarkozy a déclaré, ce matin : " François Bayrou est à Gauche" et on sent qu'en prononçant cette phrase, il y a, chez lui, comme une vraie insulte. C'est presque comme s'il avait dit que j'étais un immigré, que j'égorge les moutons dans ma baignoire ou que je suis un pervers génétique.

 

Cela me fait plaisir de ne pas recevoir le label dela Droite à la mode Sarkozy, car elle est le contraire de ce que j'ai cru et voulu toute ma vie.

 

Je veux vous dire que je ne suis pas assuré que, si, à ce moment [de la guerre en Irak], Nicolas Sarkozy avait été Président de la République, la France aurait eu l'attitude qui a été la sienne. Je suis persuadé qu'elle aurait été du côté de Tony Blair, du côté de José Maria Aznar et du côté de Berlusconi, puisqu'il a été leur ami.

Discours du 16 avril 2007 à Lyon (Palais des Sports)

 

La société que nous présente Nicolas Sarkozy, est une société qui se caractérise par sa dureté, une société dans laquelle ceux favorisés par la naissance ou par la situation ont toutes latitude de transmettre aux générations qui viennent, qu'elles aient du mérite ou pas, les fortunes acquises, une société dans laquelle le bouclier fiscal est décidé pour exonérer les plus riches d'un certain nombre de contributions fiscales dont on va laisser la charge aux classes moyennes.

 

Je n'aime pas une société dans laquelle on laisse entendre que tout est décidé à la naissance ou avant la naissance dans le patrimoine génétique des uns ou des autres, parce que cette société-là conduit inéluctablement à une idée que Nicolas Sarkozy avait déjà présentée quand il était ministre de l'Intérieur : la tentative de repérer les petits-enfants prédélinquants dès trois ans.

 

Vous aurez beau mettre tous les douaniers, tous les policiers, tout les charters, toutes les murailles, tous les grillages que vous vous voudrez, tant que vous n'aurez pas rééquilibré l'extrême misère et l'extrême richesse, les pauvres viendront chez les riches.

 

 

Interview du 16 avril 2007 sur France 2 (Question ouverte)

 

Il faut écarter un projet de société violent , qui ne correspond pas à ce que beaucoup de Français, y compris de droite, y compris de l'UMP, veulent pour la France. Le projet de société de Nicolas SARKOZY ne ressemble pas à ce qu'est le projet de société de la France républicaine.

 

La manière dont Nicolas SARKOZY a fait sortir un certain nombre de thèmes et de détestations , un certain nombre d'idées qui n'avaient jamais été envisagées dans une campagne électorale, ceci est une dérive pour la France.

 

C'est très bien de vouloir réduire les électeurs de Jean-Marie LE PEN, mais seulement si en même temps on réduit les idées de Jean-Marie LE PEN. Or Nicolas SARKOZY veut réduire les électeurs de Jean-Marie LE PEN, mais en multipliant les idées de l'extrême droite, en les validant.

 

Si vous dressez les Français les uns contre les autres pendant la campagne, après vous ne pourrez plus cicatriser les blessures que vous aurez créées. Voilà pourquoi je suis en confrontation avec Nicolas SARKOZY. Son projet est un projet très dur où, au fond, le pouvoir est en épreuve de force permanente avec une grande partie de la société.

 

 

Discours du 5 avril 2007 à Agen

 

Quand vous excitez ainsi des sentiments anti-immigration, oh, il n'y a pas de mal à les faire flamber. C'est tellement plus facile de faire flamber les sentiments de détestation que les sentiments de compréhension.

 

 

Discours du 2 avril 2007 à Reims

 

Je ne suis pas de ceux qui prétendent que c'est facile de mener une politique de sécurité. J'ai toujours pensé que c'était difficile, mais, ce que je n'aime pas, ce sont les rodomontades de ceux qui, ayant la charge de ce difficile secteur, considèrent qu'ils peuvent publier des communiqués de victoire et expliquer à tout le monde que le travail a été fait et que les choses ont profondément changé.

 

Je pense qu'il faut éviter de faire monter les tensions, de faire monter les affrontements entre les différentes catégories de Français . Je pense que les peuples sont très fragiles et très sensibles à cela. C'est très facile de pousser les peuples vers des sentiments primaires, des sentiments de rejet.

 

 

Interview du 28 mars 2007 sur la Chaîne Parlementaire

 

La méthode de Nicolas SARKOZY de passer par un mini-traité pour relancer l'Europe, cela va fragiliser l'Europe , car on la laissera entre les mains d'un monde de technocrates qui ne parlent pas la même langue que les gens.

 

Depuis que Nicolas SARKOZY est ministre de l'intérieur, la police est devenue uniquement une force de répression ; et toute sa politique a été fondée sur des opérations médiatiques coup de poing.

 

 

Interview sur France 2 le 19 mars 2007 (Question Ouverte)

 

L'UMP avait promis de faire la tolérance zéro en matière de sécurité. Y sont-ils arrivés, alors qu'ils ont tous les pouvoirs depuis 5 ans ? Même chose pour les zones de non droit, que l'on avait promis de supprimer. Elles sont à présent si nombreuses que les forces de l'ordre n'ont pas le droit d'y entrer, ni même le ministre de l'intérieur .

 

 

Interview sur RTL le 11 mars 2007 (Grand Jury)

 

Je ne suis pas d'accord avec ce raisonnement mécaniste consistant à ne pas remplacer 1 fonctionnaire sur 2 , car cette promesse répétée de la droite à chaque élection n'est pas tenable, en particulier dans l'Education nationale, l'Université, la Justice.

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
B
Je soutiens votre mouvement et j'ai envoyé l'adresse de votre blog à tous ceux que je connais, cependant au départ votre action ne portait pas de couleur de parti et rassemblait tous ceux qui défendent la démocratie, je suis donc déçue de voir que l'UDF est mis en avant dans vos dernières actions au lieu de rassembler tout le monde.
Répondre
A
quel niveau intellectuel au ras des paquerettes.<br /> au fait, le 6 mai, "ne vous levez pas tôt", faites la grasse matinée, ou plutôt, restez au lit et laissez les gens qui bossent et produisent voter tranquilles.
Répondre
S
bonjour,<br /> <br /> vous trouverez les photos du 27 avril sur mon blog. ( http://savoieinparis.over-blog.com/article-6497244.html )<br /> <br /> vous pouvez les utiliser pour votre blog ;-)
Répondre
A
Petit compte rendu sur la reunion de ce soir jeudi 26 avril 2007,<br /> <br /> L'idee de reunions a Rennes a circule dans differents canaux <br /> (dont ceux evoqués plus haut), <br /> avec quelques amis on a decider d'etre au rdv <br /> en esperant ne pas se retrouver seul...<br /> <br /> Et ho surprise, la place etait occupee a l'heures des "levent tot" (18h30)<br /> <br /> Un rassemblement Rassemblement commémoratif de Tchernobyl occupait la place<br /> * http://groupes.sortirdunucleaire.org/spip.php?article338<br /> <br /> <br /> Donc c'etait une convergence imprévue...<br /> <br /> Ensuite certains collectifs on commencé a se faire remarquer avec leur affiches<br /> donc rapidement un groupe de 20 a 30 personnes <br /> s'est regroupé au centre de la place pour une A.G. improvisée<br /> <br /> Plusieurs sujets on été evoqués :<br /> <br /> * quel sont les buts de ses rencontres ? <br /> <br /> 100% unanime : éviter que "joe dalton" soit PDG de France INC.<br /> <br /> * comment faire ? <br /> <br /> Dans un premier temps , communiquer avec les gens cooperatifs<br /> <br /> plusieurs personnes ont mis en question l'efficacité<br /> de la "communication choc" et du "politicaly correct" ?<br /> <br /> Le debat reste ouvert, peut etre limiter le message au denominateur <br /> commun qui nous unis "responsabiliser les gens pour éviter le pire"<br /> <br /> Notre credibilité serait grandie si on restai le plus factuel possible<br /> et donc focaliser sur le programme de fond (passé et futur) <br /> plutôt que la forme ( quitte à s'auto sensurer )<br /> <br /> <br /> * Que faire debats , manifs ?<br /> <br /> Toutes les pistes peuvent etre menees en parallèle a chacun de choisir<br /> mais actuellement seuls les "forums publics de 18h30" sont planifiés<br /> <br /> Certains curieux qui passeront dans les parages <br /> seront peut être touchés par ces initiatives... <br /> <br /> Il a ete évoque de pénétrer des milieux plus difficiles <br /> tel qu'ecoles de commerce, centres commerciaux etc<br /> <br /> <br /> * la suite :<br /> <br /> une invitation aux débats va être lancée <br /> dans un premier temps aux représentants du parti centriste.<br /> <br /> Vu l'urgence rien n'est vraiment organisé,<br /> mais il est louable de penser que les choses convergeront naturellement.<br /> <br /> Il existe une mailing list si cela vous intéresse <br /> je peut faire suivre vos contacts<br /> <br /> <br /> Merci de votre temps, je vous legue la flamme citoyene<br /> que j'ai emprunté le temps d'ecrire ces quelques phrases
Répondre
T
voila ce qu'on peut lire dans "the independent" sur N. Sarkozy <br /> http://news.independent.co.uk/europe/article2483842.ece <br /> traduction en français en bas du message<br /> <br /> on apprend egalement dans le corriere della serra (journal italien) qu'anne Lovergeon, PDG d'Areva, serait bien placée pour avoir un poste ministériel http://archivio.corriere.it/archiveDocumentServlet.jsp?url=/documenti_globnet/corsera/2007/04/co_9_070423044.xml<br /> <br /> ÉLYSÉE 2007 • Le mystère Cécilia<br /> Les journaux français ne veulent ou ne peuvent pas parler du couple Sarkozy ? La presse internationale, elle, ne s'en prive pas.<br /> <br /> Les médias français regorgent d'informations sur les élections, mais restent pratiquement muets sur le sujet qui obsède le plus le village politico-médiatique parisien. A onze jours du second tour de l'élection, un silence pesant imposé par la loi entoure l'état des relations entre le favori, Nicolas Sarkozy, et sa femme, Cécilia. Mme Sarkozy, 49 ans, s'est brièvement séparée de son mari il y a deux ans pour revenir ensuite en fanfare. Au premier tour de l'élection, dimanche dernier, elle a voté avec M. Sarkozy - et sans doute aussi pour lui. Or c'était la première fois depuis deux semaines qu'on la voyait en public. Et depuis elle a à nouveau disparu.<br /> <br /> Lorsque le couple a voté, dimanche, à Neuilly-sur-Seine, une banlieue aisée de Paris, les relations semblaient pour le moins tendues. Depuis une dizaine de jours, des rumeurs d'une nouvelle séparation donnent lieu à des spéculations scabreuses - y compris en chansons - sur Internet.<br /> <br /> Des articles publiés dans la presse britannique et dans d'autres journaux étrangers laissent entendre que Mme Sarkozy a quitté une nouvelle fois son mari pour un autre homme, et ce au milieu de la campagne la plus importante de la vie de son époux.<br /> <br /> Un membre de l'UMP a même confié à The Independent qu'il était désormais "de notoriété publique" qu'il y avait eu une nouvelle séparation au sein de ce qui apparaissait autrefois comme un couple idéal. Mais il a ajouté que, cette fois encore, la séparation serait peut-être temporaire.<br /> <br /> Dans presque tous les pays démocratiques, une séparation entre le favori de l'élection présidentielle et sa femme, en pleine campagne, serait une nouvelle explosive qui ferait la une des médias. Mais pas en France. La loi française interdit aux médias de toucher à la vie privée, y compris à celle des personnages publics. Cette disposition s'applique également aux publications étrangères, telles que The Independent, qui sont diffusées en France. Bien que cette loi parte d'une bonne intention, elle peut avoir des effets pervers. M. Sarkozy, un personnage réputé fragile et hyperactif, est au cœur du second tour : il est nettement favori face à la candidate socialiste, Ségolène Royal, le 6 mai.<br /> <br /> Si sa femme l'a quitté à un moment aussi critique, les gens ne sont-ils pas en droit de le savoir ? Pendant quatorze ans, les médias français n'ont pas pu dévoiler le fait que le président François Mitterrand avait une autre famille et une fille illégitime, Mazarine.<br /> <br /> Daniel Schneidermann, éditorialiste du journal Libération, s'est d'ailleurs plaint que la "pravdaïsation" de la presse française s'était encore accentuée. Passant sous silence les rumeurs selon lesquelles Cécilia avait disparu, Paris Match - l'hebdomadaire d'un groupe appartenant à un ami de M. Sarkozy - a publié une double page de photos titrée : "Revoilà Cécilia". En robe fuschia, Mme Sarkozy assistait à un gala de charité donné à Paris. On n'apercevait aucune trace de son mari.<br /> <br /> D'après l'éditeur et chroniqueur Guy Birenbaum, qui a publié des livres sur la relation de connivence qui unit la politique et les médias en France, "le couple Sarkozy est à l'évidence une question légitime pour les médias français. S'ils l'ignorent, ce n'est pas à cause de la loi, mais par peur et par déférence vis-à-vis du pouvoir".
Répondre